Lors des éditions précédentes, des représentants d'institutions et d'entreprises du Sénégal, de la Mauritanie, du Cap-Vert, du Maroc, de la Guinée-Bissau, de la Guinée équatoriale, du Togo, du Ghana, du Nigeria, du Royaume-Uni, des États-Unis, de l'Allemagne, du Portugal, de la France, des Pays-Bas et de la Norvège ont participé. Outre la Banque mondiale, l'Agence marocaine de l'énergie solaire (MASEN), l'Alliance pour l'électrification rurale (ARE) à Bruxelles, l'Agence pour la promotion de l'accès universel aux services (APAUS), l'Alliance africaine pour les énergies renouvelables et l'Unité de préparation et de développement des projets d'infrastructure (PPDU) de la Communauté des États économiques d'Afrique (CES), la Banque mondiale a également participé à la réunion.

Le Conseil insulaire de Fuerteventura, à travers AFRIMAC, a parié sur la collaboration pour le développement de ce forum, qui est devenu un instrument efficace pour les entreprises pour se connecter avec le marché africain, en contribuant à projeter les îles Canaries comme une plate-forme d'affaires tricontinentale pour tout homme d'affaires intéressé à faire des affaires dans le continent voisin ou qui cherche à trouver des "partenaires" qui lui permettront de réaliser son activité avec garantie. 

“Une étape importante dans la politique d'internationalisation de l'économie canarienne, puisqu'elle permettra aux multinationales opérant en Afrique de s'établir aux Canaries et de se familiariser avec les infrastructures et la capacité des îles à devenir un centre d'affaires et de services”. Pedro Ortega. Ministre de l'économie, de l'industrie, du commerce et de la connaissance du gouvernement des Canaries.

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